La Communauté des Pays de Langue Portugaise (CPLP) vient de signer un accord de circulation entre les neuf membres de l’organisation (Angola, Brésil, Cap-Vert, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Mozambique, Portugal, Sao Tomé-et-Principe et Timor oriental).
Il s’agit d’un accord historique, car il a fallu un quart de siècle pour les pays de la CPLP pour se mettre d’accord sur la mobilité de 300 millions de personnes vivant sur quatre continents.
La résolution approuvée établit un cadre de coopération mais de manière flexible et variable. Chaque pays peut choisir les modalités de circulation et les personnes qui sont concernées. Sa mise en route risque donc d’être un casse-tête pour les Parlements des pays de la CPLP qui doivent encore ratifier l’accord, estiment les observateurs.
Les participants à ce sommet de la CPLP qui s’est clôturé ce 17 juillet à Luanda, la capitale angolaise, ont également exploré la possibilité de doter la CPLP d’une banque d’investissement tel que proposé le président de l’Angola, Joao Loureço.
Entretemps, le sociologue, Joao Baptista Loukombo a souligne, la disparite geographique qui existe au sein de l’organisation
J.BAPTISTA LOUKOMBO PARLE DE LA CPLP